Crève Smoochy crève ! (Death to Smoochy)

Un animateur sans scrupule de télévision pour enfants utilise tous les moyens à sa disposition pour discréditer son successeur candide mais intègre.

Death to Smoochy

Décousue, pénible, ni pour enfants ni pour adultes, malgré un casting étonnant et des décors très travaillés, cette satire au vitriol des émissions pour enfants est un film raté pour le réalisateur Danny DeVito qui ne réussit pas à retrouver l’équilibre du fameux affrontement marital de La Guerre des Roses.

Comédie
Réalisateur : Danny DEVITO.
Scénario : Adam RESNICK.
Acteurs : Robin WILLIAMS, Edward NORTON, Catherine KEENER.
Musique : David NEWMAN.

DVD Zone 2

Images

Parfaites et très soutenues, les couleurs et éclairages rappellent le joli film Dick Tracy mais, hélas, tombent à plat.

Son

La VF oublie un peu les canaux arrière contrairement à la VO, et la spatialisation est de toutes façons inégale. Bon point de la VF : les morceaux chantés gardent les voix originales des comédiens.

Bonus

En VOST : Coulisses du tournage ; 10 scènes coupées ; bêtisier, plus drôle que le film hélas : 6 galeries de photos au défilement bien trop lent ; excellente chute en bonus caché. En VO non sous-titrée : commentaire audio du chef opérateur (non annoncé) et d’un Danny DeVito qui s’excuse de regarder le film au lieu de parler plus souvent ! 3 bandes-annonces dont 1 courte version radicale signée « Danny ».
DVD-ROM : Ice Show Interactif (fonctionne très mal et, en plus : l’éditeur force l’installation d’un lecteur DVD !)

Format film : 1.85.
Format cinéma : 16/9 compatible 4/3.
Versions sonores : VF, VO, et italienne en 5.1.
Sous-titres : Français, anglais, italiens et arabes. Anglais et italiens pour malentendants.
USA – 2002 – Couleurs – 105’ – Warner – DVD-9.

François Bliss de la Boissière

(Publié en 2003 dans le mensuel Les Années Laser)

 


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Arrête-moi si tu peux (Catch Me if You Can)

Fuyant le divorce de ses parents, un jeune homme débrouillard escroque les banques et déjoue les limiers du FBI en se faisant passer tour à tour pour un professeur, un pilote de ligne, un médecin ou un avocat.

catch_me_if_you_can

Fable « légère » devant permettre à un Spielberg toujours bouillonnant de respirer après les copieux et complexes A.I. Intelligence Artificielle et Minority Report, ce film presque musical au rythme aussi soutenu que son tournage au galop brille d’un éclat particulier. Notamment grâce à Janusz Kaminski, directeur de la photo aussi à l’aise ici dans les clinquants décors colorés des années 60 que dans les univers sombres et futuristes des précédents Spielberg, et – il faut bien l’avouer encore une fois – grâce à la mise en scène virtuose d’un réalisateur qui, à 57 ans, n’a pas fini de se renouveler et de surprendre son public, amateurs et détracteurs compris. Un Spielberg divertissant plus au service des acteurs que d’habitude (quel casting !) à visionner comme il s’annonce : avec légèreté.

Comédie dramatique
Réalisateur : Steven SPIELBERG.

Scénario : Jeff NATHANSON d’après le livre de Stan REDDING et l’histoire vraie de Frank W. ABAGNALE.
Acteurs : Leonardo DICAPRIO, Tom HANKS, Nathalie BAYE.
Musique : John WILLIAMS.

DVD Zone 2

Images

La compression aurait pu être meilleure, mais la gamme étendue et éclatante des couleurs est encore plus spectaculaire sur DVD qu’en salle.

Son

Quoique faisant bien son travail, la VF 5.1 reste bien pâle comparée à la VO 5.1 et surtout à la dynamique DTS.

Bonus

Sur le 2e DVD : En VOST, 7 modules thématiques de 3′ à 28′ pour un total de 78′, en réalité, comme sur la plupart des DVD Spielberg, un making-of saucissonné pour dissimuler le peu de matière réellement originale. Remarquable pour une fois, en l’absence d’effets spéciaux à expliquer, les coulisses du tournage montrent enfin Spielberg en metteur en scène derrière la caméra et en directeur d’acteur. Bien titré « Choisis-moi si tu peux », le chapitre consacré au casting rejoint les confidences du fidèle compositeur John Williams, les entretiens avec le vrai Frank Abagnale et un consultant du FBI pour expliquer en détail la genèse et la création du film, le tout en un mélange habile et crispant d’informations et de promotion. 3 jolies galeries de photos sur le casting, les coulisses et les costumes complètent le tout.

Format film : 1.85.
Format DVD : 16/9.
Versions sonores : VF et allemande en 5.1 ; VO en 5.1 DD et DTS.
Sous-titres : Français, anglais (pour malentendants mais non précisé), allemands, russes et hébreux.
USA – 2002 – Couleurs – 135’ – Universal Pictures – 1 DVD-9 + 1 DVD-5.

François Bliss de la Boissière

(Publié en 2003 dans le mensuel Les Années Laser)

 


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Futuroscope : La Coupe du Monde des Jeux Vidéo

Tué prématurément dans l’œuf de la bulle Internet, le grand village hippie communautaire international rêvé par les premiers gourous de l’Internet est en train de renaître sous la forme d’un village… sportif. Le sport électronique relie des milliers de cyberathlètes autour de très sérieuses compétitions de jeux vidéo en réseau. Une nouvelle discipline sportive est en train de naître.

ESWC 2003 photo © danybliss

Qu’est-ce donc que le jeu vidéo finalement ? Un des loisirs les plus prisés et les plus incompris des 15-25 ans ? Un passe-temps dangereux pour la jeunesse d’après le très remonté sénateur démocrate américain Joe Lieberman ? Un grignoteur de parts de marché audiovisuelles assez sérieux pour que les télévisions hertziennes l’ignorent sciemment, au même titre que l’Internet ? Le nouveau rock’n roll ? Et si, avant même de se trouver une identité culturelle, le jeu vidéo s’inventait un statut social en devenant… un sport ?

« La faute à Claire Chazal »

La première édition de la Coupe du Monde des Jeux Vidéo au Futuroscope de Poitiers l’a attesté en juillet dernier : une des familles du loisir interactif, celle qui fait appel à la compétition et se joue sur PC au moyen de la souris et du clavier, est en train d’accoucher d’une activité sportive à part entière. Un vrai sport…électronique, avec champions nommés cyberathlètes, des équipes, des coachs, des sponsors, des tournois internationaux, du spectacle, un public. Un sport, certes, pratiqué assis face à un écran d’ordinateur, mais qui demande concentration, effort physique, habileté, réflexe, esprit d’équipe, initiative individuelle, entraînement, talent. Un sport électronique avec dorénavant sa Coupe du Monde, en France. « C’est à cause de Claire Chazal si nous n’avons pas traduit littéralement l’Electronic Sports World Cup (ESWC) en Coupe du Monde des Sports Electroniques« , révèle Matthieu Dallon jeune promoteur passionné à l’origine de cette compétition. « Sur TF1 elle avait introduit un reportage en annonçant la Coupe du Monde des Jeux Vidéo. Nous avons conservé l’appellation. »

E-sport professionnel

En Corée du Sud où plus de la moitié de la population (24,4 millions d’internautes sur 46,9 millions d’habitants) a accès à l’Internet haut débit, les championnats de sports électroniques sont un phénomène. Matthieu Dallon s’emballe : « 4 millions de téléspectateurs, 12 000 spectateurs dans un stade peuvent assister à la finale de la World Cyber Games où 500 cyberathlètes venus de 45 pays s’affrontent à des jeux en réseaux sur PC ! » Avec 400 000 $ de prix à la clé, voilà ouvertement un sport professionnel. Le modèle économique et social existe donc, en Asie, mais aussi aux Etats-Unis où la Cyberathlete Professionnal League organise depuis 6 ans des compétitions internationales.

La « République numérique » de Jean-Pierre Raffarin

La contagion a fini par gagner l’Europe et notamment la France. Ainsi, après avoir organisé avec succès de gigantesques Lan-Parties en France depuis 1999 (jusqu’à 1500 PC réunis en réseau sous le toit de la Grande Halle de la Villette en juillet 2002), la jeune société Ligarena a fini par lancer son idée d’une Coupe du Monde des Jeux Vidéo. La rencontre avec le Futuroscope de Poitiers et le soutien du Conseil Général de la Vienne furent déterminants. En avril dernier, lors de l’inauguration au Futuroscope de la Cité du Numérique, le 1er Ministre Jean-Pierre Raffarin avait affirmé son soutien au jeu vidéo par un de ses bons mots : « Le ludique est une voie d’entrée à la République Numérique« . Soutenu par un René Monory toujours Président du Conseil de la Vienne à 80 ans, et surtout, instigateur avant-gardiste du Futuroscope en 1983, convaincu que « le jeu électronique est appelé à devenir un loisir de masse« , la Coupe du Monde des jeux vidéo était lancée en France.

Spectacle & compétition

Après quatre mois d’épreuves éliminatoires, 340 cyberathlètes internationaux ont été invités au Palais des Congrès du Futuroscope du 8 au 13 juillet pour la phase finale. Grand pari de cette manifestation : faire un spectacle autant qu’une compétition sérieuse. Mal informé, le public ne s’est pas encore déplacé en masse, mais l’idée et le principe sont viables. Des dizaines de matchs furent retransmis sur écrans géants. Les matchs les plus épiques s’installèrent sur la scène d’un amphithéâtre de 1500 places. Un énorme écran permettait de suivre les différentes phases de jeu tout en observant les champions en action. Des commentaires avisés osaient expliquer l’évidence pour des spectateurs néophytes tout heureux de mieux comprendre enjeux et prestations. Comble de l’émotion, grâce à des cardio fréquencemètres placés sur certains joueurs, les cœurs des spectateurs pouvaient battre au rythme cardiaque des champions grimpants jusqu’à 185 bpm !

Souris à 350 Km/h

Jouer sérieusement à Quake 3 ou Unreal Tournament 3003 demande à un cyberathlète d’être capable de déplacer sa souris à plus de 350 km/h pour viser un point en mouvement de la taille d’un pixel. Gagner à Counter-Strike oblige à coordonner une équipe de cinq personnes. Tenir bon à Warcraft 3 implique la gestion en temps réel de centaines de troupes à l’attaque de citadelles. Ceux qui pensent encore que le jeu vidéo est une distraction assoupissante feraient bien de lever le sourcil. Une nouvelle race de champions est en train de naître.


Clans féminins

ESWC 2003 photo © danybliss

Le sport électronique a déjà ses champions nationaux et internationaux, ses gagnants et ses perdants, ses ligues féminines. Vixen et Sophie, étudiantes, et Lisu, mère de famille (photo), trois des cinq membres du clan suédois Femina Bellica : « Nous nous sommes entraînées individuellement à Counter-Strike entre 3h et 6h par jour pendant les trois semaines précédant la Coupe » expliquent-elles,  » puis nous avons constitué notre équipe en fonction de nos aptitudes complémentaires« . Elles gagneront en quart de finale contre les DKGirls du Danemark, mais perdront en finale contre les Allemandes SK.Ladies qui se partageront 6000 $. Du côté des garçons les enjeux sont plus importants, les champions plus performants. « Pas parce qu’ils ont une supériorité physique sur les filles‘ » constate Matthieu Dallon, organisateur de l’ESWC, « Sans doute parce qu’ils sont plus nombreux à s’entraîner, depuis plus longtemps« .


François Bliss de la Boissière

(Publié en en 2003 dans TéléCinéObs)

 


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Joe Kidd

Un habile dilettante est forcé d’intervenir dans le conflit qui oppose un gros propriétaire terrien et un rebelle luttant pour le respect des droits des mexicains.

Joe Kidd

Malgré la présence charismatique de Clint Eastwood et du toujours très juste Robert Duvall, le traitement trop burlesque du film à la recherche d’un ton western spaghetti nuit à un sujet à l’origine très sérieux. Morceau de bravoure à voir éventuellement : une locomotive conduite par Eastwood traversant un saloon…

Western
Réalisateur : John STURGES.
Scénario : Elmore LEONARD.
Acteurs : Clint EATSWOOD, Robert DUVALL, John SAXON.
Musique : Lalo SCHIFRIN.

DVD Zone 2

Images

Belle déclinaison d’ocres, de bruns et de clairs-obscurs pour une image presque réaliste. Légers fourmillements dans les arrière-plans.

Son

Mat et sans relief en VF. Modeste, la VO est nettement plus claire.

Bonus

Aucun.

Format film : 2.35 Cinémascope.
Format DVD : 16/9 compatible 4/3.
Versions sonores : VF, VO, allemande, italienne et espagnole en mono.
Sous-titres : 16, dont français, anglais, allemands, italiens, espagnols, norvégiens, finlandais et russes.
USA – 1972 – Couleurs – 84’ – Universal Pictures – DVD-9

François Bliss de la Boissière

(Publié en 2003 dans le mensuel Les Années Laser)

 


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Fureur Apache (Ulzana’s Raid)

Un vieil éclaireur spécialiste des indiens et un jeune lieutenant sorti de l’école d’officiers se lancent aux trousses d’un groupe d’Apaches sanguinaires échappé de sa réserve.

Ulzana-s-Raid

Plutôt que de laisser une femme blanche entre les mains des Apaches, un soldat la tue de sang-froid et se suicide aussitôt ! Capables des pires sauvageries, images sanglantes à l’appui, les caricaturaux indiens de ce film justifient ici une chasse à l’homme nihiliste aux relents idéologiques ambigus, voire nauséeux. C’est malheureusement le prix à payer pour une balade dans les plaines et rocailles asséchées de l’Arizona.

Western
Réalisateur : Robert ALDRICH.
Scénario : Alan SHARP.
Acteurs : Burt LANCASTER, Bruce DAVISON, Jorge LUKE.
Musique : Frank DEVOL.

DVD Zone 2

Images

Qualité inégale tout au long du film, notamment en terme de compression, le pire étant au début avec neige et taches noires.

Son

La VF est aussi percutante pour du mono que la VO pour tout ce qui est musique et sons, sauf pendant les dialogues où l’inévitable sonorité studio de la VF écrase au passage les bruitages.

Bonus

Aucun

Format film : 1.85.
Format DVD : 16/9.
Versions sonores : VF, VO, allemande, italienne et espagnole en mono.
Sous-titres : 16, dont français, anglais, allemands, italiens, espagnols, danois, arabes et hébreux.
USA – 1972 – Couleurs – 99’ – Universal Pictures – DVD-9.

François Bliss de la Boissière

(Publié en 2003 dans le mensuel Les Années Laser)

 


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Les Écumeurs (The Spoilers)

Pendant la ruée vers l’or en Alaska, un homme floué par un juge corrompu se fait aider par sa maîtresse, propriétaire d’un saloon, pour récupérer par la force sa mine d’or.

the-spoilers

Western plutôt obscur mais intéressant pour sa délocalisation en Alaska plutôt que dans l’Ouest et pour le couple Marlene Dietrich – John Wayne. A découvrir aussi pour les robes incroyables de Dietrich – ange survolant la gadoue, pour la reconstitution parfois impressionnante de Nome, une petite ville hyper active de l’Alaska en 1900, pour une très violente scène de bagarre à poings nus entre John Wayne et Randolph Scott, et pour la vraie gifle de Marlene Dietrich qui décoiffe la montagne John Wayne.

Western
Réalisateur : Ray ENRIGHT.
Scénario : Laurence HAZARD et Tom REED d’après le roman de Rex BEACH.
Acteurs : Marlene DIETRICH, John WAYNE, Randolph SCOTT.
Musique : Hans J. SALTER.

DVD Zone 2

Images

Un joli noir et blanc entaché par de petits, mais nombreux, points blancs et égratignures.

Son

VF plate et sans valeur aux bruitages quasi inexistants. VO beaucoup plus dynamique et détaillée avec, incontournable, la voix de Marlene Dietrich.

Bonus

Aucun

Format film : Plein écran.
Format vidéo : 4/3.
Versions sonores : VF, VO, allemande, italienne et espagnole en mono.
Sous-titres : 16, dont français, anglais, allemands, italiens, espagnols, hollandais et arabes.
USA – 1942 – Noir & blanc – 84’ – Universal Pictures – DVD-9.

François Bliss de la Boissière

(Publié en 2003 dans le mensuel Les Années Laser)

 


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Le traitre du Far West (The Virginian)

Une jeune institutrice de la Nouvelle Angleterre découvre avec surprise l’amour et les rudes mœurs des cow-boys du Wyoming en lutte avec des voleurs de bétail.

the-virginian

Naïf et bon enfant, ce western sans indien où les jolies toilettes des femmes sont aussi improbables que les chemises blanches des vachers qui poussent parfois la chansonnette, court après une morale tout aussi candide de la civilisation face à la sauvagerie.

Western
Réalisateur : Stuart GILMORE.
Scénario : Frances GOODRICH, Albert HACKETT et Howard ESTABROOK.
Acteurs : Joel MCREA, Brain DONLEVY, Sonny TUFTS.
Musique : Daniele AMFITHEATROF.

DVD Zone 2

Images

Pour l’essentiel très bien conservées, les formidables couleurs Technicolor redonnent vie aux matières des costumes et à la nature verdoyante.

Son

Non seulement les voix de la VF sont beaucoup trop en avant mais des bruitages inexistants sur la VO ont été rajoutés (des foules de grillons par exemple) signalant qu’il s’agit là encore d’un film avec une partition musicale différente en VF et en VO ! Même vieilli, le tout est beaucoup plus naturel en VO.

Bonus

Aucun

Format cinéma : Plein écran.
Format DVD : 4/3.
Versions sonores : VF, VO, allemande, italienne et espagnole en mono.
Sous-titres : 16, dont français, anglais, allemands, italiens, espagnols, portugais, danois et turques.
USA – 1945 – Couleurs – 83’ – Universal Pictures – DVD-9.

François Bliss de la Boissière

(Publié en 2003 dans le mensuel Les Années Laser)

 


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